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8 mars : pour une égalité réelle hommes-femmes dans les écoles, dans les établissements scolaires, dans les universités et ailleurs

5 mars 2024|

L’UNSA Éducation, avec SUD, la FSU, le SGEN-CFDT et la CGT, est signataire de l’appel : pour une égalité réelle [...]

Le SNIA-IPR UNSA s’exprime

1210, 2023

Déclaration liminaire au CSE du 12 octobre 2023

Monsieur le ministre, nous vous remercions d’avoir rencontré les IA-IPR le 25 septembre dernier.

Le SNIA-IPR UNSA est le syndicat majoritaire du corps des inspecteurs d’académie- inspecteurs pédagogiques régionaux. Nous sommes en effet  presque 1600,  la très grande majorité en académie et plus de la moitié syndiquée au SNIA-IPR UNSA que je représente ici.

Cette large adhésion au SNIA-IPR UNSA nous permet de siéger à la CAPN et au CSE.

Monsieur le ministre, vous connaissez notre métier : experts pédagogiques et disciplinaires, nous sommes engagés sur le terrain, dans les dossiers académiques et nationaux, en lien fonctionnel mais non hiérarchique avec nos professeurs. Nous mettons nos forces au service de la réussite des élèves et des ambitions du système éducatif.

Monsieur le ministre, nous avons des attentes légitimes : nous voulons des conditions d’exercice de notre métier conformes à la nouvelle circulaire des missions du 29 aout : une lettre de mission ; une évaluation de qualité. Nous voulons  aussi une quantification de la charge de travail : depuis longtemps, l’empilement des missions fait qu’elle dépasse bien largement les « 1607 heures sans dérogation »  qui nous régissent.

La tenue d’un agenda social est nécessaire et urgente.

Monsieur le ministre, grâce à notre collégialité, vous êtes assuré de notre responsabilité, de notre réactivité, auprès des équipes, au service des progrès des élèves.

Travaillez avec nous ! Faites-nous confiance.

Je vous remercie.

Fabrice Browet pour le SNIA-IPR UNSA

2609, 2023

Une mesure qui ne convainc pas – Le Monde du 26 septembre 2023 (article d’Elea Pommiers)

Le Monde

L’objectif a été énoncé d’une phrase le 28 août par Gabriel Attal [lors de sa conférence de presse de rentrée] : « Qu’à la rentrée 2024 plus aucun élève ne soit privé de son professeur en raison d’une formation, ou d’une contrainte administrative. » Sur les quinze millions d’heures non assurées en collège et lycée, environ 10 % sont dues à la formation. […]

En parallèle, de fortes incitations à développer en priorité le remplacement de courte durée dans le cadre du « pacte enseignant », consigne a ainsi été passée dans les rectorats d’organiser la moitié des formations continues en dehors des heures d’ici à juin 2024, et la totalité à partir de septembre 2024. […]

« Il y a trop de contraintes, on est en train de brutaliser une mécanique sensible et cela met tout le monde en difficulté »[…]
« On se trompe de cible : le vrai problème tient aux non-remplacements de longue durée, pas à quelques jours de formation ou de réunions qui sont par ailleurs importantes pour le système éducatif », déclare Christian Champendal, secrétaire général du SNIA-IPR UNSA, syndicat majoritaire chez les inspecteurs d’académie inspecteurs pédagogiques régionaux (IA-IPR).

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